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Ce webinaire, coorganisé par le CNRS et le ministère de l’Éducation nationale, est composé de deux conférences. La première, par Christophe Robaglia, porte sur la réglementation européenne des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans la perspective de la génomique et de la domestication des plantes cultivées. La seconde, par Pierre-Marc Delaux, a pour objet l’édition génomique chez les plantes.
L’endosymbiose est un type particulier de symbiose, c’est-à-dire d’association durable à bénéfices réciproques entre deux êtres vivants, où l’un est situé à l’intérieur des cellules de l’autre. Selon la théorie endosymbiotique, la cellule eucaryote serait issue de différents événements d’endosymbiose.
Prix Nobel de médecine 2024 : la découverte des microARN va aider à "contrôler l'expression des gènes dans certaines maladies", explique un chercheur.
L'Assemblée Nobel, qui remet ce prix, a récompensé lundi 7 octobre, deux chercheurs américains pour leurs travaux sur les microARN et leur rôle dans l'expression génétique de nos cellules.
L'obésité est de plus en plus fréquente dans nos sociétés. Mais les traitements actuels s’avèrent peu efficaces, ce qui motive la recherche de nouvelles thérapies. Chez la souris, le microARN miR-6236, sécrété par les macrophages associés au tissu adipeux, potentialise la signalisation de l’insuline dans les adipocytes. Un homologue à ce microARN existe chez l’être humain, ce qui en fait une piste prometteuse pour agir contre l’obésité.
Brève dans planet-vie par Elise Cassan
L’ADN environnemental (ADNe) est une technique de pointe, de plus en plus utilisée au cours de ces dernières années. Elle consiste principalement en l’identification d’espèces à partir de l'ADN qu'elles laissent dans leur environnement. Cette méthode s’appuie sur des techniques classiques de biologie moléculaire (PCR, séquençage…). Bien qu’il existe de nombreuses limites, l’ADNe est utilisé dans des domaines variés allant de la génomique à l’écologie, en passant par la paléobiologie et l’évolution.
La protéine IRBP est impliquée dans le recyclage du rétinal et est donc nécessaire à la vision chez les Vertébrés. Cependant, elle ne possède pas d'homologue chez les autres animaux. En utilisant des méthodes de reconstruction phylogénétique, une équipe de l'université de Californie a montré que le gène IRBP avait évolué à partir d'un gène bactérien acquis par transfert horizontal il y a plus de 500 millions d'années !