Mis à jour du travail.
QCM n ° 1 25/09 QCU n ° 6 06/02/25 génétique
QCM n °2 17/09 QCU n ° 7 05/03/25 enzymes
QCM n °3 20/11 QCU n ° 8 27/03/25 géologie
QCM n ° 4 23/01 QCU n ° 9 09/04/25 géologie
QCU n ° 5 31/01
Thème 1 : La Terre, la vie et l'organisation du vivant : Génétique
chapitre 1: Transmission du patrimoine génétique chez les eucaryotes lors des divisions cellulaires
I. la transmission du matériel génétique chez les eucaryotes
A. Les divisions cellulaires des eucaryotes
la mitose : une division cellulaire conforme
Activité 1: Le comportement des chromosomes lors de la MITOSE
vidéo mitose ( microscope )
vidéo mitose n ° 2 ( explication)
Bilan n ° 1 : Mitose : division du noyau et du cytoplasme d’une cellule mère en 2 cellules filles génétiquement identiques entre elles .( clones )
Les caractéristiques du caryotype de la cellule parentale (nombre et morphologie des chrs) sont conservées ,on obtient un organisme ayant dans chaque cellule la même information génétique . LA MITOSE est une division cellulaire conforme
Seule la quantité D’ADN change , chaque cellule fille contient la moitié de la quantité D’ADN de la cellule mère .
Cellule mère : chromosome à deux chromatides
Cellules filles : chromosomes à une seule chromatide
Vérifie tes connaissances sur LA MITOSE :
2. La méiose : La formation des cellules sexuelles
Activité 2 : La formation des cellules sexuelles haploïdes lors de la MEIOSE
Je teste mes connaissances sur la méiose : ICI !!
Bilan n ° 2: •La méiose consiste en deux divisions cellulaires successives d’une cellule mère diploïde permettant la formation de quatre cellules haploïdes, qui ont, chacune, la moitié des chromosomes de la cellule diploïde initiale.
•La 1ère division conduit à la séparation des chromosomes homologues, différents génétiquement.
•La 2ème division conduit à la séparation des chromatides sœurs de chaque chromosome.
•Le fuseau méiotique mis en place au cours de ces deux divisions successives assure la migration des chromosomes aux pôles opposées de la cellule.
Rappel de seconde : L’ADN, Le support de l’information génétique
B. la Réplication de L’ADN
Activité 3 : Etude de l’expérience historique sur la réplication de L’ADN
Je teste mes connaissances sur la réplication et je révise
Vidéo sur l'expérience de Meselson et Stahl
Bilan n ° 3 : À chaque cycle de division, chaque chromosome est dupliqué et donne un chromosome à deux chromatides, chaque chromatide est transmise à une des deux cellules filles.
L’ ADN subit la réplication semi-conservative. Il s’agit de la formation de deux copies qui, en observant les règles d’appariement des bases, conservent chacune la séquence des nucléotides. Les deux cellules filles possèdent exactement la même information génétique lors de la mitose.
La duplication à l’identique d’un chromosome débute par la séparation localisée des deux brins d’ADN . Des enzymes nommées ADN polymérases permettent de former un nouveau brin, complémentaire du brin existant.
Attention on parle de la duplication d'un chromosome et de la réplication de la molécule d'ADN
Bilan n ° 4 Chaque chromatide des chromosomes est constituée d'une longue molécule d'ADN associée à des protéines structurantes. Chez les eucaryotes , l’ADN subit une alternance de condensation ( phase M) et de décondensation ( phases G, S, G2)
Les chromosomes sont des structures universelles aux cellules eucaryotes (organismes dont les cellules ont un noyau).
Exercice d’application et de remédiation Chapitre 1 : TYPE 2
DS de spécialité N ° 1
Thème 1 : La Terre, la vie et l’organisation du vivant
La dynamique interne de la Terre : Géologie
Chapitre n°2 : La structure du globe terrestre
fiche de révision du chapitre PLAN et ESSENTIELS à retenir
I. Des contrastes importants Continents et océans
Activité 1 : La Battle océan/continent
Bilan n ° 1 : Les altitudes de la croûte terrestre sont contrastées : l’altitude moyenne en milieu continental est de l’ordre de +840 m, tandis qu’en milieu océanique, elle est de l’ordre de -3 800 m.
La distribution bimodale des altitudes observée entre continents et le fond des océans reflète un contraste géologique, qui se retrouve dans la nature des roches des croûtes océaniques et continentales.
- croûte océanique : sédiments en surface puis des (BASALTES) et des (GABBROS)
- croûte continentale : roches très hétérogènes en surface sédiments, magmatiques et métamorphiques) mais essentiellement métamorphiques en profondeur (GRANITE).
Observation de la carte géologique de France au millionième : ICI
Activité 2 : Les principales Roches de la croûte terrestre + tableau
Apprendre Les essentiels 1 : géologie
Travail à la maison : rappel sur les séismes
Bilan n ° 2 : · La croûte océanique est relativement homogène et constituée de roches magmatiques de type basalte et gabbro
· La croûte continentale est très hétérogène en surface, mais en profondeur elle est composée de roches magmatiques et métamorphiques de type granite
· La densité du basalte et du gabbro est supérieure à celle du granite.
· Il existe un contraste géologique, dans la nature et la densité des roches qui constituent la croûte océanique et continentale.
La croûte océanique est donc plus dense que la croûte continentale et s’enfonce donc plus dans le manteau ce qui explique la répartition bimodale des altitudes observées entre les océans et les continents.
Attention révision ECE BLANC
VIDÉO BILAN sur le BASALTE
II. L’apport des études sismologiques à la connaissance du globe terrestre
a) Généralités sur les séismes :
rappel sur les séismes à faire à la maison . Vidéo ICI
Rappel : Un séisme résulte de la libération brutale d’énergie lors de rupture de roches soumises à des contraintes. Les ondes sismiques libérées au niveau du foyer par la rupture des roches se propagent dans toutes les directions vers la surface mais aussi à travers le globe
b. L’Utilisation des séismes :
Activité 3 : Un peu de sismicité
Bilan n ° 3 : L’étude de la vitesse des ondes permet dans un premier temps de mettre en évidence le type de matériau traversé puisqu’il existe une relation entre densité du matériau et vitesse des ondes.
- L’accélération de leur vitesse révèle la présence de roches plus denses
- Le ralentissement des ondes signe la présence d’un milieu moins dense ou plus visqueux
- la disparition des ondes S signe la présence d’un milieu liquide
Les études sismiques ont conduit les géologues à proposer un modèle sismique du globe terrestre (PREM) Ce modèle est organisé en quatre couches concentriques présentant chacune une signature sismologique propre : la croûte, le manteau, le noyau externe et le noyau interne. Toutes ces couches sont solides à l’exception du noyau externe liquide
Activité 4 : La sismologie, le stéthoscope qui écoute le cœur de la Terre
Bilan n ° 4 :
Les enveloppes concentriques de la Terre sont :
•La croûte : épaisse de 7 km sous les océans et 30 km sous les continents, limitée par le Moho ou discontinuité de Mohorovicic. (1% du volume global de la Terre). La discontinuité de Mohorovicic est caractérisée par une accélération brutale de la vitesse des ondes P et S et sépare la croûte du manteau.
•Le manteau : 83% du volume global de la Terre
il s'étend du Moho jusqu'à la discontinuité de Gutemberg. Il est divisé en manteau supérieur (de - 30 à - 670 km profondeur) et en manteau inférieur (de - 670 à - 2 900 km de profondeur). Il est constitué de péridotite , roche de plus forte densité (3,3)
•Le noyau : partie centrale et profonde de la Terre (16% du volume planétaire), séparé en un noyau externe, liquide (c'est la seule partie liquide à l'intérieur de la Terre) et une graine solide. La limite entre les deux se trouve à - 5100 km de profondeur au niveau de la discontinuité de Lehmann.
C/ La distinction lithosphère / Asthénosphère
Activité 5 : Données sismiques et distinction Lithosphère -Asthénosphère
Bilan n° 5 :L’analyse fine des études des ondes sismique permettent de distinguer deux couches qui diffèrent par leur comportement( deux enveloppes fonctionnelles et non plus structurales).
-La lithosphère (entre 0 et 120 km env.) est composée des roches de la croûte et du manteau lithosphérique. La lithosphère est solide cassante et forme des plaques tectoniques, lithosphériques. Elle se termine par une limite thermique : l’isotherme 1300°C, qui modifie le comportement des péridotites du manteau
-L’asthénosphère (de 120 à 6O0 km) est composée d’une partie du manteau supérieur. La partie supérieure de l’asthénosphère est la LVZ (100 à 200 km env) qui est « molle » (péridotites ductiles) et qui permet à la lithosphère de se déplacer sur l’asthénosphère
III. L’apport combiné des études thermiques et sismiques à la connaissance dynamique du globe terrestre
Activité 6 : Des anomalies sismiques qui nous en disent beaucoup sur la dynamique de la terre.
Bilan n ° 6 0n peut repérer des anomalies de vitesse des ondes sismiques par rapport au modèle théorique.
. Lorsque les vitesses des ondes diminuent, le compartiment est moins dense ou plus chaud et inversement
Les principales anomalies identifiées sont les suivantes :
- Des anomalies de haute température sont constatées au niveau des dorsales et des points chauds. Ces types d’anomalies montrent généralement une colonne chaude ascendante de l’asthénosphère
- Des anomalies de faible température sont constatées au niveau des zones de subduction. Dans ce cas, la plaque lithosphérique plongeante froide s’enfonce dans le manteau asthénosphérique
Les anomalies thermiques sont donc en lien avec le contexte géologique et l’activité dynamique de notre planète.
Activité 7 : Les propriétés géothermiques de la Terre
Vidéo correction de la modélisation de la Convexion .
Bilan n °7 : La température croît avec la profondeur. Le tracé représentant l’évolution de la température en fonction de la profondeur est appelé géotherme.
Le profil d’évolution de la température interne présente des différences suivant les enveloppes internes de la Terre, liées aux modes de transfert thermique : la conduction et la convection.
Par conduction dans la lithosphère et au niveau des discontinuités et par convection dans l’asthénosphère …
Conclusion finale du chapitre :
Les enveloppes terrestres évacuent la chaleur de différentes manières (convection et conduction).
Les mouvements de convection du manteau sont associés à des contextes géodynamiques précis et semblent en lien avec la tectonique des plaques.
- dorsale et point chaud : remontée de L’asthénosphère.
- subduction : descente de lithosphère dans l’asthénosphère
Thème 1 : La Terre, la vie et l'organisation du vivant
CHAPITRE 3 Mutations de l’ADN et variabilité génétique.
A. Origine des modifications de l’information génétique.
Activité 5 & 6 L’ADN entre Stabilité et variabilité
Bilan n ° 1 : Des modifications peuvent apparaître dans la séquence d’ADN : ce sont des mutations. Des erreurs peuvent en effet se produire aléatoirement lors de la réplication de l'ADN par l’ADN polymérase. C'est des mutations spontanées par addition, délétion ou substitution de nucléotides.
Elles peuvent aussi résulter de dommages subis par l’ADN.: Dimères de thymine
Les erreurs réplicatives et les altérations de l’ADN peuvent être réparées par des systèmes de réparation impliquant des enzymes spécifiques : permettent de maintenir une faible fréquence d’apparition des mutations dans les cellules.
Si les réparations ne sont pas conformes, la mutation persiste à l’issue de la réplication et est transmise au moment de la division cellulaire.
Dans une cellule somatique (la mutation sera présente dans le clone issu de cette cellule) mais ne pourra pas être transmise à la descendance
Dans une cellule germinale (la mutation devient potentiellement héréditaire), en revanche dans ce cas elle devient potentiellement héréditaire (Si l’un des gamètes issus de cette cellule germinale participe à la fécondation)
Je teste mes connaissances sur les mutations et je révise
Exercice en ligne : https://learningapps.org/6022738
Activité 7 : Les Ultra-Violets : des agents mutagènes ?
Bilan 2: La fréquence de mutations est augmentée par l’action d’agents mutagènes (UV, radioactivité, solvant industriel, produit dans les cigarettes). L’ADN peut donc être également endommagé en dehors de sa réplication. On parle de mutations induites.
B. Les mutations sources de diversité génétique au sein des populations
Bilan n ° 3 : : Un allèle est une portion d’ADN qui correspond à une version d’un gène. Au sein d’une espèce différents allèles coexistent pour un gène donné.
Ces différents allèles sont apparus au fil du temps, à la suite de mutations dans les cellules germinales qui se sont répandues ensuite. Les mutations sont à l’origine de la diversité des allèles au cours du temps. Selon leur nature et leur localisation dans l’ADN, les mutations ont des effets variés sur le phénotype
Exercice d'application : la résistance au paludisme
Activité 9 : êtes-vous des êtres sensibles ?
C. Devenir et conséquences cellulaires des mutations
Activité 10 : Les gardiennes du génome.
Bilan n ° 4 :Les erreurs réplicatives et les altérations de l’ADN peuvent être réparées par des mécanismes spécialisés impliquant des enzymes.
DS Spécialité N ° 3 : Exercices de Type 2 à la rentrée jeudi 2/01
Après avoir parlé de la diversité génétique entre espèces, de la variabilité, on peut transposer cela à notre espèce et en arriver à cette notion délicate de race.
Vidéo d’introduction https://www.youtube.com/watch?v=uOeHTpX0Vvg
CHAPITRE 4 L’histoire humaine lue dans les génomes
A/ Le séquençage du génome humain
Vidéo explicative sur le séquençage et les étapes du premier séquençage humain
Séquencer un génome : Connaître l’enchaînement des bases de l’ADN sur les 46 chromosomes
Bilan n ° 1 : Le séquençage complet du génome humain, soit 3milliards de paires de bases, s’est achevé en 2004 après 15 ans de collaborations internationales.
Le génome humain est
-composé d’environ 20 000 gènes répartis sur 23 paires de chromosomes.
- L’ensemble des gènes n’occupent que 1.5% de la totalité du génome (ADN codant)
-la fonction de l’ADN non codant n’est pas encore très bien connue
-Sur les 20 000 gènes identifiés, près de la moitié d’entre eux possèdent encore une fonction inconnue.
B/ La diversité humaine lue dans les génomes.
Bilan 2 :
•pas de gènes spécifiques de l’ humain et beaucoup de gènes sont présents chez les autres Primates.
•Deux humains pris au hasard ont une diversité génétique de seulement 0.1%.
•Le séquençage des génomes humains permet de dire que la variabilité génétique existe indiscutablement dans notre espèce mais qu’elle est trop faible pour déterminer des groupes quelconques ou « races »
•Néanmoins La comparaison des génomes anciens aux génomes actuels permet de reconstituer les migrations humaines.
•Plus les populations se sont installées loin de l’Afrique, moins elles sont diversifiées génétiquement.
C/ L’histoire humaine influence le génome.
Activité 14 :Papa, c’est quoi cette bouteille de lait ?
Tableau de comparaison LP / LNP
Bilan n ° 3 :Certaines variations génétiques résultent d’une sélection naturelle actuelle (tolérance au lactose) Certains de ces allèles sont actuellement plus fréquents dans certaines populations à qui ils ont apportés un avantage sélectif à un moment de leur histoire
Pour démontrer l’existence d’une sélection naturelle, il faut :
Identifier un avantage apporté par un allèle dans un environnement donné.
L’associer à une augmentation significative de la fréquence de cet allèle, les individus porteurs de cette mutation ont été avantagés, ce sont mieux nourri, reproduit et ont transmis cet allèle aux générations suivantes.
Thème II :LA TERRE, LA VIE et L’organisation du VIVANT
Chapitre n°5 : L’expression du patrimoine génétique
I. L’expression du patrimoine génétique
A. La nécessité d’un intermédiaire : l’ARNm
Activité 1 : L’ARN messager, qui es-tu ?
Bilan n °1 : : L’ADN est localisé dans le noyau alors que les protéines sont produites dans le cytoplasme. L’ADN ne peut sortir du noyau étant donné qu’il est plus gros que les pores nucléaires
L’ARN est un acide nucléique constitué d’un seul brin (donc plus petit que l’ADN) où le désoxyribose est remplacé par le ribose et la thymine par l’uracile. Il est synthétisé dans le noyau puis le quitte pour aller dans le cytoplasme.
B. Mécanismes permettant d’écrire de l’ARN à partir de l’ADN : La transcription
Activité 2 : La production des ARN messagers, une étape dans la production des protéines
Vidéo n ° 1 sur la transcription :
Vidéo n ° 2 sur la transcription jusqu’à 1min37
Bilan n° 2 : L’ARNm va transmettre l’information génétique dans le cytoplasme
Quand un gène doit être transcrit, de nombreuses ARN polymérase se succèdent assurant plusieurs copies : c’est l’amplification. La transcription est le processus par lequel il y a fabrication d’un ARN messager, « copie » du gène.
La transcription
- se déroule dans le noyau.
-un brin d’ADN (le brin transcrit) sert de modèle pour la fabrication d’un brin d’ARN messager de séquence complémentaire, à partir de nucléotides libres.
-est réalisée par une enzyme : l’ARN polymérase.
-Un même ARN pré-messager peut subir, suivant le contexte, des maturations différentes et donc être à l’origine de plusieurs protéines différentes selon les cellules
L’ARN maturé est envoyé dans le cytoplasme
Remarque : La régulation de l’expression des gènes ( voir schéma) + Schéma Bilan TRANSCRIPTION
C. de l’ARN messager à la protéine…. La traduction
Exercice d’application : La découverte du code génétique
remarque : liste des 20 acides aminés: Phénylalanine, Leucine, Isoleucine, Valine, Sérine, Proline, Thréonine, Méthionine, Alanine, Tyrosine, Histidine, Glutamine, Asparagine, Lysine, acide aspartique, acide glutamique, Cystéine, Tryptophane, Arginine, Glycine
Bilan n ° 3 : La lecture de l’ARNm par le ribosome se fait par groupe de 3 nucléotides : les codons. L’ensemble des correspondances entre les codons et l’acide aminé associé par le ribosome correspond au code génétique.
Le code génétique est universel et redondant (dégénéré). Cela permet de limiter les effets de mutations, surtout en ce qui concerne la 3° lettre du codon (3° base flottante). Mais un codon ne peut coder que pour un seul acide aminé : le code génétique n’est pas ambigu.
Activité 3 L’expression de l’information génétique : la traduction
Vidéo 1 sur la traduction de 1min 37 à la fin
Bilan n °4 : Dans le cytoplasme, De nombreux ribosomes sont actifs sur le même fragment d’ARNm, permettant la production de nombreuses protéines à partir d’un seul ARNm. C’est l’amplification
La traduction se déroule en 3 étapes :
- L’initiation qui débute par un codon START : AUG et qui permet au ribosome de s’associer à l’ARNm.
- L’élongation qui permet le déplacement du ribosome le long de l’ARNm et la production d’une protéine par fixation des acides aminés les uns aux autres.
- La terminaison qui nécessite la lecture d’un codon STOP (ou non-sens) : UAA, UAG ou UGA. Le ribosome se détache alors de l’ARNm
La succession des acides aminés de la chaîne polypeptidique est donc complémentaire des triplets de nucléotides de l’ARN eux-mêmes complémentaires des triplets de nucléotides de l’ADN.
DM Exercice d’application : Il ne peut y en avoir qu’une ! Devoir Maison à rendre
bilan n ° 5 : Les enzymes se lient au substrat au niveau du site actif, qui contient le site catalytique où la réaction se fera, et forme un complexe enzyme substrat. A la fin de la réaction le complexe se dissocie et les produits formés sont libérés
II. Un exemple de lien entre le génotype et le phénotype : les enzymes
A. Propriétés des enzymes
Bilan n° 6 : Une enzyme est une protéine qui joue le rôle de catalyseur biologique (ou biocatalyseur) :
- elle accélère (catalyse) une réaction biochimique sans en être modifiée ou consommée.
- Elle transforme un substrat en produit
- Elle catalyse les réactions qui se font habituellement à des vitesses très lentes.
- Elle agit à très faible concentration.
- Elle est retrouvée intacte après la réaction chimique et elle n’intervient pas dans l’équation bilan.
une enzyme a une action définie : elle catalyse une réaction chimique précise dans des conditions d’action optimales de température et de PH
•La vitesse de la réaction varie selon :
•La concentration en substrat : plus elle est forte, plus la vitesse de réaction est importante
•La concentration enzyme : plus les enzymes sont nombreuses, plus elles peuvent réaliser un grand nombre de réaction et plus la vitesse est importante.
Il faut donc des quantités équilibrées d’enzymes et de substrats pour que la réaction ait lieu convenablement
La saturation des enzymes permet de suggérer l’existence d’un complexe ENZYME – SUBSTRAT
Les enzymes se lient au substrat au niveau du site actif, qui contient le site catalytique où la réaction se fera, et forme un complexe enzyme substrat. A la fin de la réaction le complexe se dissocie et les produits formés sont libérés
B. La double spécificité des enzymes
Activité 4 : La spécificité des enzymes ( TP type ECE 1)
Bilan N ° 7 On dit que les enzymes ont une double spécificité : spécificité de substrat et d’action.
·Chaque enzyme agit spécifiquement sur un substrat donné. La spécificité d’une enzyme pour un substrat donné suggère une reconnaissance du substrat et la présence d’un site de fixation.
NB : Plusieurs enzymes différentes peuvent toutefois agir sur le même substrat. Ex : l’ADN Polymérase et l’hélicase agissent sur l’ADN mais elles n’ont pas la même action
C. Le fonctionnement du site actif
Activité 5 : – Le mode d’action des enzymes
Bilan n ° 7: Certaines enzymes ayant subi une mutation deviennent non fonctionnelles
- Certains acides aminés du site actif ont un rôle de structure Ainsi, toute mutation change la forme du site actif, ce qui empêche la reconnaissance du substrat.
- Le site actif contient également des acides aminés catalytiques : ce sont eux qui vont permettre la réaction chimique qui transformera le substrat en produit. Lorsqu’une mutation affecte ces acides aminés, le substrat peut encore se fixer au site actif mais il ne pourra pas être transformé en produit
DS de spécialité n ° 4 ( Exercice de type 1)
Thème 1 : La Terre, la vie et l’organisation du vivant
Chapitre n°6 : La dynamique Interne de la TERRE
FICHE ESSENTIEL de géologie n ° 2
I] La mobilité horizontale de la lithosphère
A. Le découpage des plaques lithosphériques.
Activité d’introduction : La Terre, un puzzle 3D
Bilan n ° 1 : La lithosphère terrestre est découpée en plaques animées de mouvements. C’est la répartition des séismes et des volcans (témoins des mouvements) qui permettent d’identifier la délimitation de ces plaques.
B/ Les marqueurs des mouvements lithosphériques
Activité 1 : TP Mosaïque sur les différents marqueurs du déplacement lithosphérique
Corpus documentaire n ° 1 :les indices volcaniques de points chauds
Corpus documentaire n ° 2 : les indices sédimentaires et pétrologiques + fichier expansion océanique : ICI!!!
Corpus documentaire n ° 3 : les indices paléomagnétiques
Corpus documentaire n ° 4 : les indices géodésiques
Bilan n ° 2 : Le mouvement des plaques, dans le passé et actuellement, peut-être quantifié par différentes méthodes géologiques : études des anomalies magnétiques, mesures géodésiques, détermination de l’âge des roches par rapport à la dorsale, alignements volcaniques liés aux points chauds. La distinction de l’ensemble des indices géologiques et les mesures actuelles permettent d’identifier des zones de divergence et des zones de convergence aux caractéristiques géologiques différentes (voir tableau synthétique).
CF. Voir Tableau synthétique des caractéristiques géologiques des limites de plaques tectoniques +essentiels géologie 2
II] La dynamique des zones de divergence
VIDEO À quoi ressemblera notre planète dans 250 millions d'années ?
A. De La déchirure continentale à la naissance d’un océan
Activité 2 : Le domaine de l’Afar, un futur océan ?
Vidéo de substitution à la modélisation si besoin
photo modélisation divergence : photo 1, photo 2, photo 3, photo 4
Activité n ° 3 La mer Rouge ou l’Océan rouge ?
Bilan n ° 3 : La naissance d’un océan nécessite plusieurs étapes :
1er stade Rift/cassure ou déchirure continentale
-Des failles normales et des blocs basculés fragmentent le socle,
-la croûte s’amincit et le Moho remonte
2ème stade océan étroit (type mer Rouge) :
-étroite bande de croûte océanique entre les deux bords de l’ancien rift qui vont évoluer chacun en marge continentale passive en s’éloignant progressivement.
3ème stade océanisation (type côte Atlantique) : la marge passive est stabilisée, elle est recouverte de sédiments post rift. La dorsale océanique fonctionne ,et les continents s’éloignent.
Activité 4 : Expliquer les raisons du magmatisme au niveau d’une dorsale
Explication avec le logiciel « presse à enclume » voir page LOGICIEL
Bilan n ° 4 : Le géotherme correspond aux variations de températures en profondeur.
Sous une dorsale, le géotherme est très « incurvé » avec la remontée du manteau, ce qui permet la fusion partielle de la péridotite
Le magma qui en résulte refroidit sur le manteau lithosphérique, formant une croûte océanique.
En profondeur, le magma refroidit lentement et les roches produites ont une structure grenue : ce sont les gabbros.
A l’inverse, le magma qui remonte en surface produit de la lave qui refroidit brutalement et aboutit à la production de roches microlitiques : les basaltes.
Il existe 2 types de dorsales :
- Les dorsales lentes (Atlantique 3 à 6 cm/an)
- Les dorsales rapides (Pacifique, 6 à 10 cm/an voie plus)
VIDEO de synthèse : Objectif réaliser ses propres schémas reproductibles dans un devoir sur les étapes de la fracture continentale jusqu'à l' océanisation.
B. L’évolution de la lithosphère océanique au cours du temps
Activité 5 : Le devenir de la lithosphère océanique
Bilan n ° 5 : En s’écartant de la dorsale On observe une lithosphère océanique bien différente de celle qui s’était formée par accrétion.
-la lithosphère océanique subit un refroidissement par hydrothermalisme, elle change de composition minéralogique et sa densité augmente.
-
-En raison du refroidissement et donc de l’augmentation de la profondeur de l’isotherme 1300°C, on observe un épaississement de la lithosphère
Cet épaississement ce fait à l’avantage du manteau lithosphérique qui devient majoritaire par rapport à la croûte océanique. La densité du manteau lithosphérique étant plus élevée, la densité moyenne de la lithosphère océanique augmente avec le temps.
La lithosphère océanique s’enfonce alors dans l’asthénosphère de densité plus faible
voir essentiels de géologie n °2 & 3
III. La dynamique des zones de convergence
A. Caractéristiques des zones de subduction
Activité n °6 Les caractéristiques d’une zone de subduction
Bilan n ° 6 + schéma Au niveau d’une zone de subduction
- une lithosphère océanique plonge sous une autre lithosphère et disparaît dans l’asthénosphère
- on observe une fosse océanique très profonde avec des foyers sismiques jusqu’à 700 km de prof, le long du plan de Wadati -benioff qui matérialise la plaque plongeante On constate
-un flux thermique très faible au niveau de la fosse (plaque plongeante qui se réchauffe que très lentement et reste intacte jusqu’à une profondeur importante)
- un flux thermique important au niveau de l’arc volcanique
Lorsque la densité de la lithosphère a dépassé celle de l’asthénosphère, la lithosphère finit par s’enfoncer dans l’asthénosphère: c’est la subduction .
-Ce plongement exerce une force de traction sur toute la plaque, il est le principal moteur de déplacement.
- Plus la lithosphère océanique est âgée, plus elle est dense et plus elle plonge en subduction avec une pendage fort
Les plongements de la lithosphère dans les zones de subduction correspondent aux mouvements descendants froids et denses des courants de convection.
Ces mouvements descendants participent à la mise en place de mouvements ascendants chauds et peu denses.
Indépendamment de ces cellules de convection, des remontées de matière chaude du manteau inférieur arrivent au niveau de la croûte formant les points chauds.
VIDEO BILAN sur le METAGABBRO schiste Vert
VIDEO BILAN sur le METAGABBRO schiste Bleu
Activité 8
La recette du magmatisme andésitique des zones de subduction.
Bilan n ° 7 : Dans les zones de subduction on observe :
En surface au niveau de la plaque chevauchante
-un important magmatisme de type explosif, associé à l’émission de laves visqueuses, riche en silice et en gaz.( andésites & rhyolites)
- la formation de roches plutoniques plus en profondeur de type granites.
1.Les minéraux des roches magmatiques en subduction sont hydratés par le métamorphisme hydrothermal.
2. La CO subduite libère son eau lors de son enfouissement lors des transformations liées au métamorphisme de subduction.
3.Cette eau est à l’origine de la fusion partielle de la péridotite sus-jacente, en abaissant sa température de fusion, elle est donc responsable du volcanisme des zones de subduction.
Les magmas produits forment de nouvelles roches qui proviennent de la fusion des péridotites du manteau aboutissant à la création de nouveau matériau continental : C’est l’accrétion continentale.
CF. Schéma bilan d'une zone de subduction
Animation fermeture d’un océan : https://www.youtube.com/watch?v=EtJbf2DuFrA
B. les caractéristiques des zones de collision
Diaporama les marqueurs de la collision
Activité 10 : La collision et la formation de chaînes de montagnes
Protocole modélisation convergence
Vidéo n ° 1 de substitution à la modélisation si besoin
Vidéo n ° 2 de substitution à la modélisation si besoin
Bilan n ° 8: L’affrontement de lithosphères de même densité conduit à un épaississement crustal.
L’épaisseur de la croute résulte d’un raccourcissement et d’un empilement des matériaux lithosphériques. Raccourcissement et empilement sont attestés par un ensemble de structures tectoniques déformant les roches (plis, failles inverses, chevauchement, nappes de charriage).
CF . Schéma de l'histoire d'une chaîne de montagne : de l'ouverture océanique à la collision continentale
I. Les caractéristiques de la réaction inflammatoire, une réaction innée.
Activité n ° 1 : les Principales étapes de la réaction inflammatoire aiguë (RIA)
Vidéo : La réaction inflammatoire comme vous ne l'avez jamais vue !
logiciel PHAGOCYTOSE : A télécharger et à exécuter
II . L’histoire évolutive de l’immunité.
Bilan n ° 2 :
III. Limiter l’inflammation par voie médicamenteuse.
Activité 3 : TP type Bac ECE 1 Les médicaments anti-inflammatoires
Bilan n ° 3 :
Chapitre 2 – Le prolongement de la réaction inflammatoire, la réponse immunitaire acquise ou adaptative.
I. La réponse du système immunitaire adaptatif.
A) mise en évidence d’une réponse immunitaire adaptative
Activité 1 : A la recherche d’une réponse Immunitaire adaptative : TP Électrophorèse
Bilan n ° 1 :
B) Le mode d’action des anticorps et origine de leur diversité
Activité 3 : Mode d’action et Diversité des anticorps
Bilan n ° 3 :
C) La spécificité de la réponse immunitaire adaptative
Activité 2 : La vaccination grippale, nécessité saisonnière ou lobby pharmaceutique ? TP Ouchterlony
Bilan n ° 2 :
D) Le maintien de l'intégrité des cellules
Activité 4 : Les Lymphocytes T8, gardiens de l’intégrité des cellules.
Bilan n ° 4 :
II] La mise en place de la réponse immunitaire adaptative.
A. La sélection des anticorps et des lymphocytes : la sélection clonale
Activité 5 : Le choix des Lymphocytes, une sélection implacable !
Bilan n ° 5 :
B. Les lymphocytes T4, chefs d’orchestre du système immunitaire
Bilan n ° 6 :
III] L’utilisation de l’immunité adaptative en santé humaine
A. Le système immunitaire possède une mémoire
Activité 7 : La mémoire immunitaire
ressources vidéo complémentaires sur la vaccination
- https://www.reseau-canope.fr/corpus/embed/la-memoire-immunitaire-44.html
- https://www.youtube.com/watch?v=ufD8Ta8spno
(vaccin contre la grippe)
- https://www.youtube.com/watch?v=-sc7rpeJYnU
(comprendre la vaccination)
Bilan n ° 7 :
B. Le principe de la vaccination.
Activité 8 : La vaccination préventive
Bilan n ° 8 :
Activité 9 : Un effort individuel pour un intérêt collectif
Document Exemples d’arguments de personnes contre la vaccination
- Argument n°1 / Les vaccins peuvent provoquer des maladies graves
- Argument n°2 / Les effets secondaires sont nombreux, sous-estimés et mal connus
- Argument n°3 / L’aluminium contenu dans les vaccins est nocif
- Argument n°4 / Les vaccins enrichissent les labos
- Argument n°5 / L'organisme des nourrissons est trop faible pour recevoir onze vaccins
Bilan n ° 9 :
Préparation des exposés : Corps humain et santé
- cancer : caractéristiques et mutations : livre belin
- cancer : mode de vie, virus et traitement : livre belin
- La résistance aux antibiotiques : Origine et enjeu de santé publique : livre belin
- Le diabète de type 2 : dossier
- altérations génétiques , dysfonctionnements cellulaires et cancer : dossier
-La mucoviscidose : une maladie génétique : dossier
- La thérapie génique: un espoir pour soigner la Beta -Thalassémie.: dossier