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L'obésité est de plus en plus fréquente dans nos sociétés. Mais les traitements actuels s’avèrent peu efficaces, ce qui motive la recherche de nouvelles thérapies. Chez la souris, le microARN miR-6236, sécrété par les macrophages associés au tissu adipeux, potentialise la signalisation de l’insuline dans les adipocytes. Un homologue à ce microARN existe chez l’être humain, ce qui en fait une piste prometteuse pour agir contre l’obésité.
Brève dans planet-vie par Elise Cassan
Magazine n°62: Les champignons amis ? ou ennemis ?
Trimestriel d’information, le magazine de l’Inserm illustre les découvertes, débats et questions d’une recherche biomédicale en constant mouvement.
Magazine n°61: Obésité : tout savoir sur les nouveaux traitements
Trimestriel d’information, le magazine de l’Inserm illustre les découvertes, débats et questions d’une recherche biomédicale en constant mouvement.
Magazine n°60 : Prématuré : l'urgence d'agir.
Trimestriel d’information, le magazine de l’Inserm illustre les découvertes, débats et questions d’une recherche biomédicale en constant mouvement.
On sait que les plantes échangent des nutriments et
des signaux chimiques.
De façon étonnante, les arbres transfèrent aussi des
fragments d’ADN à leurs plantes grimpantes.
C’est même plus fréquent que ne le pensaient les spécialistes.
L’ADN environnemental (ADNe) est une technique de pointe, de plus en plus utilisée au cours de ces dernières années. Elle consiste principalement en l’identification d’espèces à partir de l'ADN qu'elles laissent dans leur environnement. Cette méthode s’appuie sur des techniques classiques de biologie moléculaire (PCR, séquençage…). Bien qu’il existe de nombreuses limites, l’ADNe est utilisé dans des domaines variés allant de la génomique à l’écologie, en passant par la paléobiologie et l’évolution.
La protéine IRBP est impliquée dans le recyclage du rétinal et est donc nécessaire à la vision chez les Vertébrés. Cependant, elle ne possède pas d'homologue chez les autres animaux. En utilisant des méthodes de reconstruction phylogénétique, une équipe de l'université de Californie a montré que le gène IRBP avait évolué à partir d'un gène bactérien acquis par transfert horizontal il y a plus de 500 millions d'années !